polifila/ COMEDIA/ piacevole/ e nvova/ Nuouamente e con ogni/ dilige[n]tia stampata./ [fleuron]/ [marque]/ in fiorenza./ [fleuron] m d l vi [fleuron].
[souscription] In Fiorenza appresso i Giunti./ m d l vi.
In-8° [48] feuillets signés A-F8 non chiffrés, le dernier blanc ; marque sur le titre (60 mm) ; autre f. F7 v° (67 mm) ; fleurons, lettrines ; caractères italiques.
Comédie, en cinq actes et en prose, parfois attribuée au dédicataire du volume, Benedetto Busini [1], ou, faussement, à Giovambattista Gelli. Elle se caractérise par un certain caractère populaire, le facchino parlant bergamasque, et des relations peu conventionnelles entre les personnages : une jeune fille de bonne famille aime un valet, un confesseur intervient pour empêcher une dame d’entrer au couvent, contradictions apparentes résolues par la reconnaissance finale.
Relié avec Nicolò Buonaparte, La Vedova (Florence, Giunti, 1558) et autres pièces.
→ Allacci, Drammaturgia, 1755, p. 636 (attribution à Gelli) ; Quadrio, V, 87 (attribution à Busini) ; Mango, 86 ; Decia, 298 ; BL, 530 (4 exemplaires) ; Bregoli Russo, 25 (2 exemplaires) ; Ascarelli-Menato, p. 273-274 ; Edit16 (33 exemplaires).
D. Maestri, « Le commedie di G. B. Gelli e la Polifila », Lettere italiane, XXX, 1978, p. 185-192 ; G. Padoan, L’avventura della commedia rinascimentale, Padoue, Fr. Viallardi, 1996, p. 154-155.