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SANNAZARO (Jacopo), Arcadia (1576)

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[première ligne dans un cartouche typographique] ARCADIA/ DI M. IACOPO/ sannazaro/ nvovamente corretta,/ & ornata da alcune Annotationi da/ thomaso porcacchi./ con la vita del’avttore,/ descritta dal medesimo, & con la dichiara-/tione di tutte le uoci oscure,/ che son nell’Opera/ [marque]/ in venetia/ Appresso Giuseppe Guilielmo./ m. d. lxxvi.

In-12 [132] feuillets signés *12 A-K12 paginés [XXIV dont II bl.] 238 [II]. Marque sur le titre (30 mm) ; portrait de Sannazaro en Virgile (61 x 58 mm ; Zappella, Ritratti, 304-305) ; lettrines ; ornements typographiques.

Edition de l’Arcadia, procurée et annotée par le polygraphe Tommaso Porcacchi [1], publiée pour la première fois en 1547. Elle est dédiée à Giulio Martinengo [2]. Cette édition connut au moins 11 réimpressions jusqu’à la fin du siècle.

Le volume est à l’adresse de Giuseppe Guilielmo, imprimeur ou plus probablement libraire à Venise, inconnu aux principaux répertoires.

Hauteur : 130 mm. Demi-parchemin, plats cartonnés (reliure du XVIIIe siècle).

Provenance : ex-libris manuscrit sur la p. 1 : Ex libris Benedicti de Perottis 1781 [Benedetto Perotti, milanais, poète et auteur de livrets d’opéras] ; cachet de D. Virgili Peruzzi sur la première garde [cfr. Gelli, p. 356].

Edit16 (6 exemplaires).

[1Sur le polygraphe Porcacchi et cette édition, voir C. Lastraioli, « Les Funerali antichi de Tommaso Porcacchi », dans Les Funérailles à la Renaissance, actes du colloque, Bar-le-Duc, 1999, Genève, Droz, 2002, p. 357-388, en part p. 359 note, et L. Ariosto, Scolastica, Venise, G. Giolito de’ Ferrari, 1552.

[2Probablement Giulio Martinengo (c. 1540-1603), noble de Brescia, fils de Ludovico Martinengo della Pallata.

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